"Un jour comme un autre" certains vous diront...,
"Un Dimanche comme tant d'autres" vous clameront-ils...!!!
"Non" je leur réponds, car aujourd'hui,
C'est le jour pour toutes les "Mamans"...
Vous l'êtes toujours et à chaque seconde de votre vie,
Mais aujourd'hui dimanche, jour de la "Fête des Mères"
J'ai envie de vous dire à vous toutes,
Qu'en cette journée, vous êtes encore un peu plus "Maman"....
Bisous à toutes les "Mamans Aminautes"
YC
" Lorsqu'un été effronté envahit le domaine printemps "
pourrait être le feuilleton à la mode de l'année...
Seul l'audacieux clocher n'hésite à faire face
à un soleil de plomb qui sévit chaque jour...
En cette place, à l'ombre d'arbres encore frêles tels des adolescents,
un banc offre sa pierre au quidam éreinté par tant de canicule...
Le cannisse est aussi bienvenu pour prêter main forte,
malgrè son faible abri, au géant conifère...
Les volets restent clos pour filtrer les rayons
qui sévissent en chaleur et brûlent l'atmosphère...
Là tout prêt, le ruisseau frémit son eau pour donner faux semblant,
en portant l'illusion d'y trouver la fraîcheur...!!!
C'était aujourd'hui en mai ce mercredi, ici en "Bas-Bugey"...!!! "YC"
Ce texte a été écrit par Nicolas Leurette et je viens le partager avec vous... "YC"
L’Allumeur de Réverbères
Je vais vous parler d’une profession lointaine, celle des allumeurs de réverbères. Cette profession consistait à allumer les réverbères d’un quartier à la tombée de la nuit, et de les éteindre au petit matin. Ce travail simple a inspiré à l’époque beaucoup d’auteurs, comme Antoine de Saint Exupéry, et beaucoup de professeurs de mathématiques pour illustrer les probabilités : probabilité que le réverbère s’allume du premier coup et qu’il reste allumé par exemple. Cette profession a connu beaucoup d’essor lors du dix-neuvième siècle où les villes attiraient de plus en plus de monde (exode rural) d’où la nécessité d’avoir un éclairage public. Durant cette période, les allumeurs furent largement embauchés par les mairies ; leur travail étant indispensable, ils se croyaient donc à l’abri de tout licenciement : « Des réverbères, il y en aurait toujours besoin ! ». A l’époque, les lampadaires fonctionnaient au pétrole ou au gaz. Mais à l’aube du vingtième siècle, un inventeur américain (Thomas Edison) mit au point une ampoule électrique, présentée à l’exposition universelle de 1889 à Paris ; Edison, sans le savoir, avait déclenché la mort programmée de la belle profession d’allumeur de réverbères. Nos pauvres employés municipaux virent leurs antiques réverbères remplacés tour à tour par de modernes lampadaires. Le problème pour eux n’était pas la nostalgie du vieux réverbère en bronze, mais c’était que les lampadaires flambant neufs s’allumaient tous en même temps grâce à un unique interrupteur pour tout un quartier. Ils avaient trois choix : s’adapter, lutter ou être au chômage, mais en raison de leurs faibles pouvoirs, lutter en détruisant toutes les ampoules électriques était une hypothèse à écarter, et en outres, le chômage n’était pas très lucratif. Ils durent admettre que leur époque était révolue, et donc s’adapter : il fallait bien des employés pour les installer ces nouveaux lampadaires, et puis il fallait changer les ampoules et entretenir les armoires électriques. La plupart restèrent employés municipaux mais la profession en temps que telle était désormais morte. La nostalgie de cette époque persista dans leur mémoire, la poésie de leur métier resta dans la littérature et le coté mathématique de la chose se retrouva dans les manuels scolaires.
Je ne suis ni auteur ni mathématicien, et encore moins un ancien allumeur de réverbères... Si je vous parle de tout cela, c’est pour faire le parallèle entre cette profession et une autre profession à notre époque actuelle. Cette autre profession est la votre, celle des maisons de disques. L’histoire est souvent faite de répétitions et de contradictions : l’homme qui a inventé la lampe électrique condamnant les allumeurs de réverbères, est le même que celui qui à fait naître les maisons de disques en inventant le phonographe. Les maisons de disques sont nées au début du vingtième siècle grâce aux moyens d’enregistrer et de reproduire du son. Une nouvelle possibilité se créa, celle de pouvoir écouter de la musique à l’infini sans sortir de chez soi. Au début, cette possibilité ne toucha que les plus riches car le matériel était très onéreux. Mais les coûts de production chutant, cette possibilité devint une habitude qui connut un succès universel durant tout le vingtième siècle. Durant cette période, le profit des maisons de disques était basé sur la nécessité de centraliser la duplication d’oeuvre afin d’en réduire les coûts, ce qui leur procurait un rôle indispensable, puisque aucun artiste n’avait les moyens de produire lui-même en grande quantité le support de son oeuvre. Mais à l’aube du vingt-et-unième siècle, vint Internet... Je ne me lancerai pas dans le débat qui consiste à savoir qui l’a inventé, car cela n’apporterait rien. Grâce à Internet, on peut échanger gratuitement une oeuvre sans avoir besoin d’en acheter le support propre. Ce qui vous dérange, vous les maisons de disques, ce ne sont pas les droits d’auteurs, mais le fait qu’Internet permette de ne plus passer obligatoirement par vos services pour acquérir une oeuvre. Et comme les allumeurs de réverbères, vous êtes à votre tour confrontés à un grand problème : ne plus avoir d’utilité. Vous avez donc trois choix, vous adapter, lutter ou disparaître. Je crains fort que vous n’ayez choisi une lutte perdue d’avance, une lutte pour vendre du vent, un peu comme si nos braves allumeurs de réverbères avaient voulu que l’on équipe chaque réverbère d’un interrupteur qu’eux seuls auraient été habilités à actionner. Vous trouvez cela stupide ?
C’est pourtant exactement ce que vous faites avec vos dispositifs anti-copies. Le réverbère n’appartient pas à l’allumeur, mais l’auteur ne vous appartient pas non plus. Et si moi, jugeant que la rue n’est pas suffisamment éclairée, je décide d’appuyer sur l’interrupteur afin de jouir, ainsi que mes concitoyens, de la lumière ?... L’allumeur va me faire un procès pour mise à disposition illégale de lumière ?... Vous trouvez cela stupide ? C’est pourtant exactement ce que vous faites quand vous attaquez un utilisateur de peer to peer en justice. Rendez-vous compte que la lutte est absurde et que vous allez la perdre, puisque toutes vos méthodes sont et seront impopulaires et contournables. Cessez les pressions sur nos élus et respectez les artistes en ne leur faisant plus dire n’importe quoi. Bien sûr que les artistes doivent être rémunérés ; pour cela il y a déjà les concerts, les représentations publicitaires et il reste à trouver tous ensemble un moyen de remplacer la vente de l’unité (disques, ventes en ligne ...) Mais il est clair que la vente à l’écoute, infinie (CD) ou limitée (DRM) est désormais sans avenir. Je ne veux pas votre mort, je suis convaincu que vous avez aidé plus d’un artiste à se faire connaître, et je veux, bien sûr, pouvoir encore découvrir de nouveaux talents. Mais publier des morceaux sur Internet ne coûte pas 1€ et je ne pense pas être le seul à ne pas vouloir PAYER POUR DU VENT ! Alors adaptez-vous !
Une entreprise réussit et subsiste grâce à sa capacité d’adaptation et non grâce à sa capacité à conserver des valeurs désuètes. Il y a une place pour vous dans la société culturelle de demain, mais si vous continuez à vous battre de manière stérile, vous allez perdre cette place, et d’autres en profiteront. Si les allumeurs de réverbères n’avaient pas accepté l’évolution, ils seraient tous morts de faim...
Et peut-être votre ancien rôle inspirera-t-il
la littérature de demain et les mathématiciens...
Hier le ciel s'est couvert de gris
Pour assombrir de ses contrastes,
Assouvir ses états d'âme.
Il est venu porter aux lèvres de la terre
La pluie qui apaise les soifs...
C'était un jour "Samedi" pluvieux...,
Déjà bien loin, plus vieux d'un jour...!!!
Aujourd'hui l'aube s'éclaire,
Le ciel passe en gris-bleu,
Contrastes au dessus des têtes.
Brillance se fait force,
D'un soleil sur la terre à peine gorgée...
La journée s'est faite "Dimanche"...,
Hier n'est plus, place à ce jour né...!!!
Quand la nature passe de la pluie au soleil
Qu'importe ses domaines ou ses lieux...
Sa vie est toujours prête à rejaillir
Pour enrichir de ses nuances et frasques
Le dessus, en dessous, ici ou là, ailleurs...
L'homme n'est que bien petit face à cette dame,
Elle qui trace à l'envie son paraitre en "Contrastes"...!!!
"YC"
La nature est étrange et propose intriguante son blafard scénario sur fond de ciel zébré. Une Bâtisse se dresse floutée en brume du soleil, le jour se met en voile pour accueillir la nuit. Étranges comme rebelles sont les derniers rayons d'un astre surchauffé qui devra s'éclipser pour au clair de la lune. Les lanternes s'apprêtent à parfumer de lumières leurs proches, et ainsi pourchasser l'angoisse de psychose par multiples éclats en parant d'illumines les pierres...
Le Crépuscule se fait pressant, qui pourrait l'empêcher...? Surnaturel peut-être, encore faut-il y croire...? Adieu toi beau soleil qui va partir sur le sentier des rêves, le soir s'installe, calme, en apaisant repos..."L'après" se fera jour, "Plus tard" sera un autre, là en étranges couleurs se trame bien d'autres choses... Ceci n'est point mirage mais unique vérité, la nuit tissera ses toiles de dentelles en broderies berceuses...
Un petit village du "Bugey" en "Terre de Pays d'Ain" se met en pose, étale à la vue sa fresque juste par quelques mots... Il invite à la fuite du clair à l'horizon, espérant vous croiser en songes assoupis... Le bleu part se foncer au défilé des heures, se pare d'effets silhouettes comme des marionnettes. Il tire sa révérence, va côtoyer "Morphée" en attente du lendemain, où dès l'aube au petit matin, d'un bonjour clamera son réveil...!!!
"YC"
Je viens partager avec vous un tableau coloré en "Soleil Picasso",
un chemin des senteurs, juste offrir à vos yeux un peu de ces parfums
que déclinent ces "Belles Fleuries"...
Profitez de l'instant comme j'ai profité un jour en les cliquant...
Comment finir ce parcours autrement que par "Roses" maîtresses fleurs et souhaiter bonne route
à toutes celles et ceux qui viennent un peu de voyager en ce sentier fleuri...A très bientôt..."YC"
Si juste un petit "Brin" amène un peu de "Bonheur", que dire alors...,
...s'il s'agit d'un "Bouquet"...!!!
Plein de "Moments Bonheur" au son des "Petites Clochettes" à toutes et tous...
"YC"
Nom Latin du Muguet : Convallaria majalis (plante toxique)
La tradition du Premier mai remonte à la nuit des temps.
Dans l'antiquité, c'était la date à laquelle les navigateurs reprenaient la mer.
Chez les Celtes, c'était le début du premier semestre de l'année celtique.Au Moyen Age, Mai était le mois des accordailles.
Depuis 1889, c'est la fête du travail.
Dans tous les cas, c'est l'occasion de réjouissances.
Le muguet (Convallaria majalis L., famille des liliacées) est une espèce de sous-bois spontanée dans toute l'Europe.
Elle n'apparaît dans les jardins qu'au XVIème siècle.
Dès la renaissance, le muguet est une fleur porte-bonheur associée aux festivités du premier mai.
Mais c'est au début du XX siècle que sa vocation de fleur du Premier Mai s'affirme, grâce à deux faits principaux.
Le Premier Mai 1895, le chansonnier Mayol est accueilli par son amie Jenny Cook avec du muguet et le soir même il arbore à la boutonnière du muguet à la place du Camélia traditionnel.
A l'époque 1900, le jour du Premier mai, les grands couturiers offraient des brins de muguet aux clientes et aux
petites mains.
En 1976, le muguet est totalement associé au Premier mai et chaque année plusieurs dizaines de millions de brins de muguet sont commercialisés ce jour-là, muguet des bois et muguet cultivé.
La récolte de muguet sauvage est tributaire du climat de l'année et varie considérablement d'une année à l'autre.
Fête des travailleurs
Au cours de leur congrès de 1884, les syndicats américains (USA) se donnent deux ans pour imposer aux patrons une limitation de la journée de travail à huit heures. Ils choisissent de débuter leur action le 1er mai parce que beaucoup d'entreprises américaines entament ce jour-là leur année comptable. C'est ainsi que le 1er mai 1886, la pression syndicale permet à environ 200.000 travailleurs d'obtenir la journée de huit heures
La fête des Travailleurs du 1er mai n'est pas la même chose que la fête du Travail du 1er septembre en Amérique du Nord. En effet, aux États-Unis et au Canada, y compris au Québec, c'est le 1er lundi de septembre qu'est célébrée la Fête du Travail... ce qui permet aux salariés de bénéficier chaque année d'un week-end prolongé. Les syndicats québécois prennent par ailleurs le temps de manifester le 1er mai en solidarité avec leurs homologues européens.
Fête du muguet du 1er mai
Le premier mai, c'est aussi la fête du muguet. On va chercher du muguet dans la forêt. C'est un porte-bonheur car c'est la fleur qui symbolise le BONHEUR.
Dans l'antiquité, c'était la date à laquelle les navigateurs reprenaient la mer. Chez les Celtes, c'était le
début du premier semestre de l'année celtique. Au Moyen Age, Mai était le mois des accordailles.
Depuis 1889, c'est la fête du travail.
Le muguet (Convallaria majalis L., famille des liliacées) est une espèce de sous-bois spontanée dans toute l'Europe. Le fruit est une petite BAIE rouge. Le muguet pousse à l'état sauvage dans les endroits ombragés mais bien aérés de tous les pays d'Europe dont il est originaire. Une variété a été importée en Amérique du Nord par des immigrants qui sont allés s'installer dans le Nouveau Monde. Les horticulteurs cultivent également du muguet dans les jardins. Elle n'apparaît dans les jardins qu'au XVIème siècle.
Le muguet signifie le retour de la joie, il est le messager de l'amour . La légende témoigne de l'affection du muguet pour le rossignol qui ne revenait pas dans la forêt avant que le muguet n'ait fleuri en mai. L’humilité et la douceur de la Vierge dans l’imagination médiévale, sa blancheur et son parfum délicat. Il fleurit au moment de l’Annonciation.
Le Muguet se manifeste au moment du renouvellement et du réveil de la nature. Il fait partie des précurseurs et il évoque l'effort perpétuel de la réincarnation; dans la nature, il est l'un des représentants de la saison nouvelle. C'est la fleur qui prélude à l'amour, aux mariages et à la famille. Il porte bonheur; on l'utilise pour témoigner notre gratitude aux travailleurs et à ceux à qui vont nos remerciements. La tradition veut que, le 1er mai, on en offre 3 petits brins en signe d'amitié.
Le muguet a aussi des propriétés médicinales et il est employé dans la préparation de médicaments destinés à soutenir le coeur. On appelle "muguet" une maladie des lèvres et de la bouche qui provoque des plaques blanches ressemblant à la fleur du muguet.
Le muguet - convallaria maialis - ou lis des vallées, tient son origine latine de convallis (vallée), de leiron (lis) et de maialis (de mai). Le nom français dérive de muge ou musc du latin muscus, à cause probablement de son parfum. Le muguet est une plante herbacée de 10 à 30 cm de haut, avec deux feuilles seulement, vertes et allongées. Les fleurs blanches, en forme de clochette, sont portées par une hampe unique d'avril à juin. Des baies rouges, arrondies, contenant 2 à 6 graines, remplacent les fleurs de juillet à octobre. La plante, vivace, se multiplie par son rhizome rameux traçant dans tous les sous bois de France excepté en Méditerranée.
Origines du Muguet : Originaire du Japon, le Muguet est la fleur du renouveau, le symbole de la victoire du printemps sur l'hiver. Connu en France dès le Moyen Age, ce n'est qu'au début du XX ème siècle, qu'il devint véritablement la fleur du 1er Mai.
Autre version de muguet, la "Jacinthe Sauvage" ou "Jacinthe des Bois" est appelée aussi "Muguet Bleu", et fleurit en masse dans les sous-bois en de véritables tapis bleus.
Coucou à vous toutes et tous..., juste pour partager un peu d'une de mes passions...
Après une séance répétition en mon salon...je suis seul donc je ne casse pas les oreilles à mon entourage, et bien j'arrête au bout de 2 heures non stop..., j'ai les doigts qui chauffent tout rouge...
Voilà les deux instruments dont je joue avec mes amis d'un groupe de "Country Music"...
La "Guitare Basse" électrique (bleue) et électo-accoustique (photo du dessous)...dur dur la dextérité de mes doigts, ils n'ont plus 20 ans...
L'autre instrument que je pratique est une percussion nommée "Frottoir", appelée aussi "Planche à laver" ou en anglais "Washboard"...Il est plus particulièrement utlisé dans la forme plastron (photo du haut) dans la musique "Cajun" de Louisiane...et planche à plat dans le "Jazz New-Orleans" (ci dessous) en frottant avec des dés à coudre ou avec des cueillères... Moi j'utilise la méthode cueillère avec le frottoir plastron (photo du haut)..., et ci dessous c'est un de mes amis musiciens qui pratique dans cette version là le "Washboard"...
Maintenant voilà que je prend des crampes dans les mains...ouyouille..., je recommencerai plus tard...Au repos les petites menottes...A très vite...Bye bye
Venez écouter les enregistrements et découvrir le blog de mon groupe OK COUNTRY
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MADAME VIRGULE et MONSIEUR TREMA devaient se marier.
Mais voilà qu`elle apprend tout à coup que son futur, l`infâme, est actuellement épris d`une autre femme.
Elle le fait venir. Ils sont dans le salon. Très nerveuse, elle sonne.
Un serviteur fidèle entre : C`est GUILLEMET.
Ayant besoin d`air, elle, montrant au serviteur les fenêtres « Ouvre-les, GUILLEMET ».
GUILLEMET les ouvrit.
Alors, calmée un peu par les odeurs champêtres, de nouveau, montrant à GUILEMET les fenêtres, « Fermes-les », GUILLEMET.
GUILLEMET les ferma.
MADAME LA VIRGULE et MONSIEUR TREMA restèrent seuls.
J`étais, lui dit-elle, fort aise, mon cher MONSIEUR, d`entrer dans votre PARENTHÈSE. Mais puisqu`une autre femme est mieux à votre goût que moi, ne niez pas MONSIEUR, car je sais tout, elle est jeune, jolie et se nomme CÉDILLE, danseuse à l`Opéra dans le premier quadrille. Brisons donc là, tout ça dit d`un ACCENT AIGU.
Le pauvre TRÉMA piteux, mais convaincu qu`on se tire toujours d`affaire en étant grave, riposta d`un air digne, avec un ACCENT GRAVE : MADAME
Assez, MONSIEUR, POINT D`EXCLAMATION !
Je ne souffrirai POINT D`INTERROGATION ! ADIEU
TRÉMA, certes, était philosophe, mais vraiment, sous le coup d`une telle APOSTROPHE et comprenant le faux de la situation, il renonça soudain à tout TRAIT D`UNION.
Prenant l`air pincé de quelqu`un qui se vexe, il fronça les sourcils en ACCENT CIRCONFLEXE.
Et, se sentant coupable au fond sur plusieurs POINTS, il sortit brusquement en serrant ses DEUX POINGS.
Une femme frappée d`un coup si traître, c`est affreux ! C`est la mort ! Et vous croyez peut-être que MADAME VIRGULE mourut ? Non, bien loin, elle s`éprit d`un autre, un certain MONSIEUR POINT.
Et bientôt eut lieu, sans que ce fut ridicule le mariage très sélect de POINT et VIRGULE.
Ils eurent des enfants et l`on peut voir pêcher plus d`un POINT à la ligne.